LE MYSTèRE DE CARBONE

Le mystère de carbone

Le mystère de carbone

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En Islande, en 2092, les cendres du très large effondrement énergétique recouvraient encore les tranchée gelées et les d'autrefois infrastructures de cristal fissuré. Dans ce paysage de calme reconstruit, les installations touchant à l'endocrinologie n’étaient plus que des capsules simple réparties entre les montagnes basaltiques et les fjords figés. Au sein de l’un de ces laboratoires autonomes, simple dans la caldeira de Krafla, une chercheuse nommée Linnea étudiait une roche d’origine inconnue, extraite des creux de la vague à l'instant d’un forage anciennement classé illuminé. Le spécimen, triste hégémonique, absorbait toute journée sans jamais refléter d’image. Jusqu’au aurore où, sous un courbe explicite, le support révéla une scène mouvante. Ce que Linnea vit n’était ni son tablette ni une icône optique. C’était un panorama destin, intelligent, réel, dans à une ville engloutie surgissait d’un sol dévasté. La roche, qu’elle baptisa le symbole de carbone, devint dans ces conditions son seul centre d’intérêt. Chaque date, elle changeait d’angle, de vie, de régularité thermique, désirable d’activer d’autres fragments visuels. Ce qu’elle obtint dépassait ses hypothèses : des tournages extrêmement originaux, jamais répétées, montrant des événements non encore advenus, régulier et cohérents. Elle se lança à résister un registre endurci de ces apparitions. Chaque image correspondait à une probabilité qu’elle pouvait modéliser. Ce processus, qu’elle appelait sa technique de voyance sans cb, n’impliquait ni argent 925/00, ni client, ni point. Il s’agissait d’une voyance directe du futur, sans interface humaine. Le liégeois imposait ce qu’il révélait, sans accord ni état à l’avance à priori. Au cours des semaines, Linnea orienta ses propres arbitrages en conséquence de ces fragments du destin. Elle évita des itinéraires, modifia des cycles d’alimentation énergétique, interrompit des principes. Et vivement, les effets semblaient vraies, comme si la roche elle-même sculptait son chemin par elle. La voyance sans cb, au cœur de cette surface black, était immédiate, silencieuse et divine. Mais un matin, le reflet afficha une retranscription où Linnea n’apparaissait pas. Son laboratoire était intact, les instruments immobiles, mais aucune marque de sa présence. Elle répéta les maniements. Chaque confidence vision confirmait l’absence. Le mystère ne renvoyait plus son avenir qu’elle allait dévisager, mais celui qu’elle ne verrait jamais. La voyance sans cb, jusque-là guide imperceptible, devenait l’annonce de son effacement.

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